20 mai 2012

Et s'il n'y avait plus d'animaux ? de Jean-Luc Renck

Et s'il n'y avait plus d'animaux ?
de Jean-Luc Renck


L'animal habite tous les mondes humains, depuis toujours, et il a engagé les hommes dans des relations innombrables, souvent contradictoires. Que ce soit en chair et en os ou sous forme de récits, de représentations, l’animal est omniprésent dans notre vie matérielle et spirituelle. Alors pourquoi, fréquemment, éprouvons-nous une gêne à admettre cette omniprésence comme un apport fondamental à notre humanité, pourquoi la minimisons-nous ? Et pourquoi déclassons-nous comme pathologies ou faiblesses bon nombre de rapports avec la bête ?

Et s'il n'y avait plus d'animaux ? Jean-Luc Renck, Editions de l'Hèbe, 2004, 80 pages

Pour en savoir plus

- Le site des Editions de l'Hèbe
- L'écho du quetzal, de Jean-Luc Renck

A propos de l'auteur
Source

Né en 1961 en Suisse, dans le Jura neuchâtelois, Jean-Luc Renck a obtenu une licence en biologie à l'Université de Neuchâtel. Il y a mené quelques recherches en éthologie avant de s'engager sur la voie de l'écriture, qui "collait" mieux à ses intérêts et humeurs sans cesse changeants - dans le même temps, il tombait amoureux de l'Ardenne belge...

Pour épilogue à ses années académiques, il a publié "Que dit votre chat ?" (L'Hèbe, 2001), court essai sur quelques réalités et mythes de la communication animale, puis "L'éthologie, histoire naturelle du comportement" (Seuil, 2002), en collaboration avec sa compagne, l'anthropologue Véronique Servais, chargée de cours à l'Université de Liège.

Chroniqueur auprès de quotidiens suisses depuis une quinzaine d'années, Jean-Luc Renck a livré près d'un millier d'articles touchant à tous les aspects des sciences naturelles et de leur histoire ainsi que quelques notes de voyage (Australie, Pacifique, Californie...) ; 82 de ses chroniques racontant les animaux et les rapports innombrables que les hommes entretiennent avec eux ont été recueillies dans "L'Echo du quetzal" paru au Seuil en 2004, ouvrage qu'on a pu qualifier "d'agréable petit bestiaire, érudit, curieux et poétique" ("L'Huma"). Le même thème a été développé dans le petit "Et s'il n'y avait plus d'animaux ?" (L'Hèbe, 2004), en quelque sorte les notes de marge de "L'écho du quetzal".

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