30 août 2009

Quand les singes prennent le thé, de Frans de Waal

Présentation

Et si les grands singes avaient leur propre culture ? Et si la culture humaine, traditionnellement considérée comme à part, avait ses racines dans le monde animal ? Longtemps ce type d'interrogations, jugées indélicates à l'endroit de notre espèce, ont été occultées. Mais depuis quelques décennies, l'étude des sociétés de nos cousins les primates est venue ébranler nos convictions séculaires et arrogantes.

Savoureux mélange d'anecdotes, d'études cliniques, de travaux sur le terrain et de spéculations fascinantes, "Quand les singes prennent le thé" pose la question fondamentale : jusqu'à quel point différons-nous des animaux ? Les grands singes nous tendent désormais un miroir dans lequel ils ne sont plus de simples caricatures des humains, mais des membres à part entière de notre famille, avec un esprit de ressources et une dignité qui leur sont propres.

L'avis de Mona Moalic

Frans de Waal est l'éthologiste et zoologiste qui a contribué à la popularisation des bonobos, ces singes à la sexualité très active. Il nous livre dans "Quand les singes prennent le thé" ses réflexions sur l'existence d'une culture chez les animaux. Il y montre de façon convaincante que la transmission de savoirs et d'habitudes sociales n'appartient pas exclusivement aux sociétés humaines. Cela fait de cet ouvrage un recueil d'éléments intéressants pour conforter ceux qui pensent que les animaux sont bel et bien très proches des hommes.

Certains singes ont pris l'habitude, par exemple, de laver leurs patates douces avant de les manger, on a pu observer également une automédication de certains groupes, etc. Il s'attache ainsi à montrer que les naturalistes occidentaux, en niant ce type de phénomènes, ont eu tendance pendant des siècles à projeter sur leurs objets d'étude leur volonté de séparer la nature de la culture. Selon lui, "il est risqué de les considérer comme des domaines distincts et séparés : il y a beaucoup de nature dans la culture, et inversement". Il y a donc beaucoup de singe dans l'homme, et inversement. Une position tout en subtilité, aux antipodes du dogmatisme.

Quand les singes prennent le thé, Frans de Waal, Editions Fayard, 2001, 382 pages

Sommaire

Lunettes culturelles
- L'animal entier ; talismans d'enfance et crainte excessive de l'anthropomorphisme
- Le destin des gourous ; quand les vieux mâles deviennent des obstacles
- Bonobos et feuilles de vigne ; primates hippies dans un paysage puritain
- L'art animal ; accrocheriez-vous un Congo chez vous ?

Qu'est-ce que la culture ? Existe t-elle dans la nature ?
- Prédire le mont Fuji ; avec une visite à Koshima, où les singes lavent leurs patates douces
- Le dernier Rubicon ; les autres animaux connaissent-ils la culture ?
- Cassage de noix ; quand la nature s'appuie sur la culture
- De naturels cultivés ; macaques tibétains et thé

La nature humaine
- Des singes qui ont de l'amour propre ; Abraham Maslow et le tabou du pouvoir
- La survie des plus gentils ; gènes égoïstes et chiens altruistes
- A bas le dualisme ! Deux millénaires de débats sur la bonté humaine

Pour en savoir plus

- Le livre "De la réconciliation chez les primates", du même auteur
- Un documentaire animalier où Frans de Waal est l'un des intervenants

De la réconciliation chez les primates, de Frans de Waal

Présentation

Nous avons longtemps cru, notamment sous l'influence de Konrad Lorenz, que la violence et la guerre sont biologiquement naturelles. Sans nier l'hérédité des comportements agressifs, Frans de Waal corrige cette vision grâce aux données fournies par l'observation de cinq espèces de primates (chimpanzés, macaques rhésus, macaques-ours, bonobos et hommes). Examinant les gestes et les attitudes qui assurent la convivialité, la cohésion sociale, la paix et le pardon, il montre que la confrontation n'est pas un obstacle mais bien un élément sur lequel les relations sociales se construisent et se renforcent grâce â la réconciliation.

Émaillé d'anecdotes, ponctué par d'étonnantes photographies, cet ouvrage évoque les subtilités des comportements des grands singes - pour résoudre les conflits, les chimpanzés s'enlacent, les rhésus s'épouillent tandis que les bonobos s'en remettent à la sexualité... - et, ce faisant, jette une nouvelle lumière sur les racines de nos propres sociétés.

L'avis de Mona Moalic

Les singes, parce qu'ils sont si proches de nous, intriguent, passionnent et interrogent de plus en plus les scientifiques. Parmi eux, les primatologues, dont Frans de Waal est un des porte-parole les plus connus, se sont faits les défenseurs de la reconnaissance des cultures animales. Au cours d'années d'observation, cet éthologue a en effet pu constater, dans la lignée de ses pairs, que chaque groupe de singes possède son système d'organisation, ses habitudes et ses codes.

"De la réconciliation chez les primates" nous montre comment différentes espèces de singes ont coutume de se réconcilier après un conflit. Au travers d'anecdotes cruelles ou émouvantes, de photos prises lors de ses observations, Frans de Waal nous plonge au cœur de communautés dont les préoccupations nous rappellent souvent les nôtres. Ses commentaires d'une grande sensibilité et d'une grande empathie (qu'il revendique) par rapport à l'objet de son étude donnent un aperçu passionnant de cette science dont la démarche est si particulière.

De la réconciliation chez les primates, Frans de Waal, Editions Flammarion, 1992, 382 pages

Sommaire

Remerciements
Avant-propos
1. Fausses dichotomies
2. Les chimpanzés
3. Les macaques rhésus
4. Les macaques-ours
5. Les bonobos
6. L'homme
Glossaire
Bibliographie
Index

Pour en savoir plus

- 2 articles concernant ce livre en cliquant ici et
- Le livre "Quand les singes prennent le thé", du même auteur
- Un documentaire animalier où Frans de Waal est l'un des intervenants

18 août 2009

Wood’stown, d'Alphonse Daudet


Wood’stown
Alphonse Daudet
Conte fantastique (1873)

L’emplacement était superbe pour bâtir une ville. Il n’y avait qu’à déblayer les bords du fleuve, en abattant une partie de la forêt, de l’immense forêt vierge enracinée là depuis la naissance du monde. Alors abritée tout autour par des collines boisées, la ville descendrait jusqu’aux quais d’un port magnifique, établi dans l’embouchure de la Rivière-Rouge, à quatre milles seulement de la mer.

Dès que le gouvernement de Washington eut accordé la concession, charpentiers et bûcherons se mirent à l’oeuvre ; mais vous n’avez jamais vu une forêt pareille. Cramponnée au sol de toutes ses lianes, de toutes ses racines, quand on l’abattait par un bout elle repoussait d’un autre, se rajeunissait de ses blessures ; et chaque coup de hache faisait sortir des bourgeons verts. Les rues, les places de la ville à peine tracées étaient envahies par la végétation. Les murailles grandissaient moins vite que les arbres et, sitôt élevées, croulaient sous l’effort des racines toujours vivantes.

Pour venir à bout de cette résistance où s’émoussait le fer des cognées et des haches, on fut obligé de recourir au feu. Jour et nuit une fumée étouffante emplit l’épaisseur des fourrés, pendant que les grands arbres au-dessus flambaient comme des cierges. La forêt essaya de lutter encore, retardant l’incendie avec des flots de séve et la fraîcheur sans air de ses feuillages pressés. Enfin l’hiver arriva. La neige s’abattit comme une seconde mort sur les grands terrains pleins de troncs noircis, de racines consumées. Désormais on pouvait bâtir.

Bientôt une ville immense, toute en bois comme Chicago, s’étendit aux bords de la Rivière-Rouge, avec ses larges rues alignées, numérotées, rayonnant autour des places, sa Bourse, ses halles, ses églises, ses écoles, et tout un attirail maritime de hangars, de douanes, de docks, d’entrepôts, de chantiers de construction pour les navires. La ville de bois, Wood’stown - comme on l’appela, - fut vite peuplée par les essuyeurs de plâtres des villes neuves. Une activité fiévreuse circula dans tous ses quartiers ; mais sur les collines environnantes, dominant les rues pleines de foule et le port encombré de vaisseaux, une masse sombre et menaçante s’étalait en demi-cercle. C’était la forêt qui regardait.

Elle regardait cette ville insolente qui lui avait pris sa place au bord du fleuve, et trois milles d’arbres gigantesques. Tout Wood’stown était fait avec sa vie à elle. Les hauts mâts qui se balançaient là-bas dans le port, ces toits innombrables abaissés l’un vers l’autre, jusqu’à la dernière cabane du faubourg le plus éloigné, elle avait tout fourni, même les instruments de travail, même les meubles, mesurant seulement ses services à la longueur de ses branches. Aussi quelle rancune terrible elle gardait contre cette ville de pillards !

Tant que l’hiver dura, on ne s’aperçut de rien. Les gens de Wood’stown entendaient parfois un craquement sourd dans leurs toitures, dans leurs meubles. De temps en temps, une muraille se fendait, un comptoir de magasin éclatait en deux bruyamment. Mais le bois neuf est sujet à ces accidents, et personne n’y attachait d’importance. Cependant, aux approches du printemps, - un printemps subit, violent, si riche de séves qu’on en sentait sous terre comme un bruissement de sources, - le sol commença à s’agiter, soulevé par des forces invisibles et actives. Dans chaque maison, les meubles, les parois des murs se gonflèrent, et l’on vit sur les planchers de longues boursouflures comme au passage d’une taupe. Ni portes, ni fenêtres, rien ne marchait plus. - « C’est l’humidité, disaient les habitants. Avec la chaleur, cela passera ».

Tout à coup, au lendemain d’un grand orage venu de la mer, qui apportait l’été dans ses éclairs brûlants et sa pluie tiède, la ville en se réveillant eut un cri de stupeur. Les toits rouges des monuments publics, les clochers des églises, le plancher des maisons et jusqu’au bois des lits, tout était saupoudré d’une teinte verte, mince comme une moisissure, légère comme une dentelle. De près, c’était une quantité de bourgeons microscopiques, où l’enroulement des feuilles se voyait déjà. Cette bizarrerie des pluies amusa sans inquiéter ; mais, avant le soir, des bouquets de verdure s’épanouissaient partout sur les meubles, sur les murailles. Les branches poussaient à vue d’oeil ; légèrement retenues dans la main, on les sentait grandir et se débattre comme des ailes.

Le jour suivant, tous les appartements avaient l’air de serres. Des lianes suivaient les rampes d’escalier. Dans les rues étroites, des branches se joignaient d’un toit à l’autre, mettant au-dessus de la ville bruyante l’ombre des avenues forestières. Cela devenait inquiétant. Pendant que les savants réunis délibéraient sur ce cas de végétation extraordinaire, la foule se pressait dehors pour voir les différents aspects du miracle. Les cris de surprise, la rumeur étonnée de tout ce peuple inactif donnaient de la solennité à cet étrange événement. Soudain quelqu’un cria : « Regardez donc la forêt ! » et l’on s’aperçut avec terreur que depuis deux jours le demi-cercle verdoyant s’était beaucoup rapproché. La forêt avait l’air de descendre vers la ville. Toute une avant-garde de ronces, de lianes s’allongeait jusqu’aux premières maisons des faubourgs.

Alors Wood’stown commença à comprendre et à avoir peur. Évidemment la forêt venait reconquérir sa place au bord du fleuve ; et ses arbres, abattus, dispersés, transformés, se déprisonnaient pour aller au-devant d’elle. Comment résister à l’invasion ? Avec le feu, on risquait d’embraser la ville entière. Et que pouvaient les haches contre cette séve sans cesse renaissante, ces racines monstrueuses attaquant le sol en dessous, ces milliers de graines volantes qui germaient en se brisant et faisaient pousser un arbre partout où elles tombaient ?

Pourtant tout le monde se mit bravement à l’oeuvre avec des faux, des herses, des cognées ; et l’on fit un immense abattis de feuillages. Mais en vain. D’heure en heure la confusion des forêts vierges, où l’entrelacement des lianes joint entre elles des pousses gigantesques, envahissait les rues de Wood’stown. Déjà les insectes, les reptiles faisaient irruption. Il y avait des nids dans tous les coins, et de grands coups d’ailes, et des masses de petits becs jaseurs. En une nuit les greniers de la ville furent épuisés par toutes les couvées écloses. Puis, comme une ironie au milieu de ce désastre, des papillons de toutes grandeurs, de toutes couleurs, volaient sur les grappes fleuries, et les abeilles prévoyantes qui cherchent des abris sûrs, au creux de ces arbres si vite poussés installaient leurs rayons de miel comme une preuve de durée.

Vaguement, dans la houle bruyante des feuillages, on entendait les coups sourds des cognées et des haches ; mais le quatrième jour tout travail fut reconnu impossible. L’herbe montait trop haute, trop épaisse. Des lianes grimpantes s’accrochaient aux bras des bûcherons, garrottaient leurs mouvements. D’ailleurs les maisons étaient devenues inhabitables ; les meubles, chargés de feuilles, avaient perdu leurs formes. Les plafonds s’effondraient, percés par la lance des yuccas, la longue épine des acajoux ; et à la place des toitures s’étalait le dôme immense des catalpas. C’est fini. Il fallait fuir.

A travers le réseau de plantes et de branches qui se resserraient de plus en plus, les gens de Wood’stown épouvantés se précipitèrent vers le fleuve, emportant le plus qu’ils pouvaient de richesses, d’objets précieux. Mais que de peine pour gagner le bord de l’eau ! Il n’y avait plus de quais. Rien que des roseaux gigantesques. Les chantiers maritimes, où s’abritaient les bois de construction, avaient fait place à des forêts de sapins ; et dans le port tout en fleurs, les navires neufs semblaient des îlots de verdure. Heureusement qu’il se trouvait là quelques frégates blindées sur lesquelles la foule se réfugia et d’où elle put voir la vieille forêt joindre victorieusement la forêt nouvelle.

Peu à peu les arbres confondirent leurs cimes, et, sous le ciel bleu plein de soleil, l’énorme masse de feuillage s’étendit des bords du fleuve à l’horizon lointain. Plus trace de ville, ni de toits, ni de murs. De temps en temps un bruit sourd d’écroulement, dernier écho de la ruine, ou le coup de hache d’un bûcheron enragé, retentissait sous la profondeur du feuillage. Puis plus rien que le silence vibrant, bruissant, bourdonnant, des nuées de papillons blancs tournoyant sur la rivière déserte, et là-bas, vers la haute mer, un navire qui s’enfuyait, trois grands arbres verts dressés au milieu de ses voiles, emportant les derniers émigrés de ce qui fut Wood’stown...

17 août 2009

Le rat de Venise, de Patricia Highsmith

Le rat de Venise
et autres histoires de criminalité animale

à l'intention des amis des bêtes

de Patricia Highsmith


Nouvelles

Un animal peut-il se transformer en criminel ? Ou devenir un justicier impitoyable ? Impossible, direz-vous et pourtant, quand vous aurez lu ce livre, vous ne regarderez plus jamais les animaux, ni les humains de la même façon. Baignant dans un climat de cruauté parfois tempéré par une note d'humour, ces treize récits vous feront découvrir un aspect stupéfiant de l'univers de Patricia Highsmith.

Voyez comment un chameau finit par se venger magistralement d'un maître qui le maltraite ; comment une jument fait échouer le plan machiavélique de deux jeunes gens avides d'argent. Lisez aussi l'histoire de Samson, le cochon qui aimait trop les truffes ; celle de Harry, le gentil furet assoiffé de sang ; et celle d'Eddie, le petit singe devenu cambrioleur malgré lui. Sans oublier si vous avez les nerfs solides, l'horreur provoquée par un élevage de poulets, ni, bien sûr, l'odyssée effroyable et triomphale du rat de Venise.

Ce n'est pas la première fois qu'apparaît dans la littérature le thème des animaux qui se retournent contre l'homme. Mais l'art consommé de Patricia Highsmith, son extraordinaire don d'observation, la vérité des situations et des personnages, l'amour évident que l'auteur éprouve pour les bêtes, toutes ces qualités font de ce recueil un livre où, à chaque page, se lit en filigrane une terrible leçon : souvent, ce n'est pas l'animal qui est le plus bestial.

Le rat de Venise, Patricia Highsmith, Editions Calmann-Lévy, 1994, 280 pages

Au sommaire

- Le rat de Venise
- La toute dernière parade de "Dancing Girl"
- La vengeance de Djemal
- Vivre avec Bubsy
- La plus grosse proie de Ming
- Au coeur de la saison des truffes
- Cheval-vapeur
- Le jour d'expiation
- Eddie, le singe passe-partout
- Les hamsters contre les Webster
- Harry le furet
- La promenade du bouc
- Carnet d'un respectable cancrelat

La griffe du chat, de Martin H. Greenberg et Ed. Gorman

La griffe du chat
Contes cruels

anthologie établie par

Martin H. Greenberg

et Ed. Gorman

Nouvelles


"Vous aimez les chats? De toute façon vous ne pourrez qu'adorer ces contes cruels dont ils sont les héros. Une vingtaine de grands écrivains ont uni leurs talents pour qu'existe cette anthologie. Quel lien entre le mystère de la maison hantée et le drame de la femme trompée ? Un seul, toujours le chat. Frissons et plaisirs garantis..."

France-Dimanche

La griffe du chat, Martin H. Greenberg, Ed. Gorman, Editions France loisirs, 2000, 360 pages

12 août 2009

Chihuahua, zébu et Cie - d'Henriette Walter et Pierre Avenas

Chihuahua, zébu et Cie
L'étonnante histoire des noms d'animaux
d'Henriette Walter et Pierre Avenas


Savez-vous que le loup a laissé sa griffe sous les termes lycée, Louvre et même lupanar ? Pourquoi le hot-dog porte-t-il un nom si étrange ? Et quels animaux se cachent derrière les mots butane et vaccin ? Quinze chapitres savants et malicieux débusquent les traces de nos animaux familiers au détour des conversations et des langues... Fourmillant d'illustrations et d'anecdotes, ce bestiaire fait escale aux portes de la mythologie et de la littérature. Un étonnant voyage dans les contrées animalières de notre langue. Amis des bêtes et amateurs de mots, ce livre est pour vous !

Chihuahua, zébu & Cie, Henriette Walter et Pierre Avenas, Editions Points, 2007, 314 pages

A propos des auteurs

Professeur émérite de linguistique, Henriette Walter est notamment l'auteur du "Français dans tous les sens". Pierre Avenas est un passionné de l'histoire des mots en Europe.

Voir aussi, des mêmes auteurs

- Bonobo, gazelle et Cie
- L'étonnante histoire des noms de mammifères

Bonobo, gazelle et Cie - d'Henriette Walter et Pierre Avenas

Bonobo, gazelle et Cie
L'étonnante histoire des noms d'animaux sauvages

d'Henriette Walter et Pierre Avenas


Les animaux font la loi... dans le dictionnaire ! Le mot rat, par exemple, a creusé un dédale de galeries lexicales. On se perd, de "rat de bibliothèque" en "rat des champs", de "queue de rat" en "rat d'hôtel"... A l'autre extrême, l'ours nous réserve bien des surprises étymologiques. Saviez-vous que l'inoffensif prénom Bernard signifie en fait "fort comme un ours" ? Foisonnant et ludique, ce livre révèle l'influence considérable des noms d'animaux dans toutes les langues : contes, toponymie, constellations, prénoms... Après Chihuahua, zébu et Cie, découvrez la fabuleuse histoire des noms d'animaux sauvages.

Bonobo, gazelle et Cie, Henriette Walter et Pierre Avenas, Editions Points, 2008, 313 pages

A propos des auteurs

Professeur émérite de linguistique, Henriette Walter est notamment l'auteur du "Français dans tous les sens". Pierre Avenas est un passionné de l'histoire des mots en Europe.

Voir aussi, des mêmes auteurs

- Chihuahua, zébu et Cie
- L'étonnante histoire des noms de mammifères

Au sommaire

Abréviations et signes particuliers
Préambule
1. Autour de l’ours et du raton laveur
2. Autour du lion et du tigre
3. Autour du lynx et du chacal
4. Autour du rhinocéros et de l’hippopotame
5. Autour de la gazelle et de la girafe
6. Autour du cerf et du bison
7. Autour du rat et du chinchilla
8. Autour de l’écureuil et du castor
9. Autour de la musaraigne et de la chauve-souris
10. Autour de la baleine et du phoque
11. Autour de la fouine et de la mangouste
12. Autour du tatou et du kangourou
13. Autour du singe et de l’aye-aye
14. Autour du babouin et du bonobo
Epilogue
Notes
Index
Table des matières

L'analyse du livre
par la LFDA, La Fondation Droit Animal

Nous avions déjà mentionné, dans nos colonnes, les ouvrages de ces mêmes auteurs : Chihuahua, zébu et Cie… - L’étonnante histoire des noms d’animaux, et, La mystérieuse histoire du nom des oiseaux – Du minuscule roitelet à l’albatros géant. Lui aussi fruit de la collaboration d’une linguiste (Henriette Walter) et d’un ingénieur intéressé par les animaux (Pierre Avenas), le présent ouvrage, qui reprend des articles de L’étonnante histoire des noms de mammifères, parue en 2003 chez Robert Laffont, est de la même veine. Il vise à faire connaître, par des anecdotes souvent savoureuses, l’origine mal connue des noms des animaux.

Les animaux, actuels et quelques fossiles, y sont présentés, souvent illustrés, avec leurs noms dans les principales langues européennes. On y découvrira les dérivés du lion chez d’autres animaux (fourmilion ou léopard, p52) ou dans les prénoms (Léon ou Lionel, voire Ariel, lion en hébreu, p53-54). De nombreuses digressions sur la littérature et la poésie agrémentent l’ouvrage. Ainsi on assiste à la controverse sur la pantoufle de Cendrillon (p159) : était-elle en vair (fourrure d’écureuil) ou en verre ? Et on peut réhabiliter le rat, si mal famé, avec les rats de l’opéra ou les rats de bibliothèque (p132). Le livre se termine sur l’amour chez les bonobos (p276) et des annexes (index, notes…) particulièrement utiles. On l’aura compris : un livre qui se lit comme un roman.

L'étonnante histoire des noms de mammifères, d'Henriette Walter et Pierre Avenas

L'étonnante histoire des noms de mammifères
d'Henriette Walter et Pierre Avenas


Henriette Walter s’est intéressée à un nouveau domaine, en collaboration avec Pierre Avenas. Tous deux nous entraînent dans un bestiaire fascinant, d’un genre très particulier... Le résultat de cette aventure n’est à proprement parler ni dictionnaire ni encyclopédie, ni manuel de zoologie, ni essai de linguistique, mais un peu tout cela à la fois. Au-delà de la découverte de ce qui se cache derrière les noms des mammifères, on plonge dans d’autres domaines : dans la zoologie, bien sûr, mais aussi la mythologie, la botanique et la géographie, et même parmi les constellations, les prénoms et noms de famille, dans l’héraldique et la littérature.

Les amoureux des animaux tout comme les passionnés de mots s’y rencontreront sans se sentir dépaysés, et s’émerveilleront de tout ce qui peut entourer cette quête étymologique. Les dessins de François Boisrond, les multiples encadrés mettant en scène anecdotes historiques ou mythologiques, les tableaux regroupant la diversité des appellations selon les langues, mais aussi les jeux présentés sous forme de devinettes récréatives sont autant de voies d’accès à ce vaste domaine. Pour les passionnés d'ani-mots !

L'étonnante histoire des noms de mammifères, Henriette Walter, Pierre Avenas, Editions Robert Laffont, 2003, 486 pages

A propos des auteurs

Professeur émérite de linguistique, Henriette Walter est notamment l'auteur du "Français dans tous les sens". Pierre Avenas est un passionné de l'histoire des mots en Europe.

Voir aussi, des mêmes auteurs

- Bonobo, gazelle et Cie
- Chihuahua, zébu et Cie

10 août 2009

Nichoirs, de Claude Lorpin

Nichoirs
80 modèles à construire soi-même

de Claude Lorpin


Ce guide pratique propose aux amoureux des oiseaux, de construire eux-mêmes plus de 80 modèles de nichoirs, correspondant à environ 36 espèces d'oiseaux.

Pour chaque modèle, des schémas détaillent les matériaux de montage avec les cotes précises et la technique de montage. Du nichoir "boîte aux lettres" au nichoir spécifique pour chouette hulotte par exemple, vous n'aurez que l'embarras de choix.

Tous testés par l'auteur, les nichoirs vous aideront à faire de votre jardin un lieu accueillant pour les oiseaux et à participer ainsi à la protection de la nature .

Nichoirs, Claude Lorpin, Editions Artémis, 2010, 128 pages

Voir aussi, sur le même thème : 30 cabanes à oiseaux, d'Anne Valéry

Aperçu




30 cabanes à oiseaux, d'Anne Valéry

30 cabanes à oiseaux
à réaliser soi-même

d'Anne Valéry

illustrations d'Yves Poyet

photographies de Gilles Plagnol


Comment réserver sur sa terrasse, son balcon ou dans son jardin, un espace de vie pour les oiseaux ? Comment observer mésanges, verdiers, merles ou rouge-gorges à proximité de sa maison ?

Cet ouvrage propose 30 cabanes à oiseaux, nichoirs et mangeoires créatifs et amusants, de formes et de couleurs variées. De quoi offrir au coeur de l'hiver un abri douillet à nos amis des jardins.

30 cabanes à oiseaux, Auteur : Anne Valéry, Illustrations : Yves Poyet, Photographies : Gilles Plagnol, Editions Flammarion, 2003, 96 pages

Un extrait du sommaire

- La cabane au Canada
- Le piou-piou loft
- La maison cornette
- La maison africaine
- La maison troglodyte
- Les coloquintes
- La maison porte-clés
- Les soucoupes volantes
- La tête d'homme moustachu
- La maison jaune
- ...

Pour en savoir plus

- Le Monde de Tissuline où vous pourrez voir quelques photos des cabanes
- Nichoirs, de Claude Lorpin

Instinct, réalisé par Jon Turteltaub

Instinct

superbe film réalisé par Jon Turteltaub
avec Anthony Hopkins et Cuba Gooding Jr
adapté du roman Ishmael, de Daniel Quinn


Film en ligne sur ce lien

Le livre qui a inspiré ce film
Ishmael, de Daniel Quinn

Un homme, qui a laissé derrière lui l'humanité afin de vivre avec des animaux, revient à la civilisation dans de fâcheuses circonstances, mais avec de précieux enseignements sur les relations entre l'homme et l'animal.

Ethan Powell, éminent anthropologue, s'exile au Rwanda pour étudier les gorilles de montagne. Plus il les suit et les observe, plus il en vient à admirer leur mode de vie simple et pacifique. Il commence alors à passer le plus clair de son temps avec les gorilles, jusqu'à ce qu'un jour il s'aventure dans la jungle profonde pour ne plus en revenir. Powell partage désormais sa vie avec les gorilles. il devient membre d'un groupe à part entière et vit parmi eux comme un homme primitif, en pleine nature. Mais deux ans plus tard, des braconniers les attaquent. Le chef du groupe, un mâle à dos argenté, tente alors de défendre sa famille, y compris Powell, mais il est tué dans l'embuscade avec plusieurs autres gorilles. Fou de douleur, et défendant lui aussi son groupe, Powell est pris d'une rage meurtrière et tue à son tour deux braconniers. Capturé et extradé aux Etats-Unis où il est incarcéré dans une prison de haute sécurité où règne la violence, il se mure alors dans le silence en attendant son procès. Une expertise psychologique doit être effectuée et la tâche incombe à Theo Caulder, un ambitieux et jeune psychiatre qui voit dans cette affaire une occasion de se rendre célèbre. Toutefois, Powell ne parlant à personne depuis des années, entrer en contact avec lui et percer son mystère est un véritable challenge, tout comme pour sa fille, Lyn, qui le connait à peine. Au fur et à mesure que la relation s'établit, Caulder réalise ce que Powell a appris de son expérience avec les gorilles et combien celui-ci peut lui apprendre sur son propre rapport aux autres. Un affrontement psychologique intense débute alors dont l'issue pourrait bien changer la vie des deux hommes, même si Powell ne nourrit qu'un rêve : retourner parmi les siens, ses gorilles...



06 août 2009

Vivons perchés - Collectif

Vivons perchés
50 créations originales
de la Cabane Perchée

de Alain Laurens, Daniel Dufour,
Ghislain Andre, Vincent Thfoin
préface de Yann Arthus-Bertrand

Vivons Perchés est le premier livre qui présente 50 cabanes originales, réalisées par une même équipe : La Cabane Perchée. Créée en 2000, cette petite entreprise travaille en France et en Europe pour tous ceux qui veulent réaliser ce rêve d'enfant : avoir une cabane dans les arbres.

Toutes ces cabanes, installées sans planter un seul clou dans l'arbre ni couper une seule grosse branche, sont exceptionnelles.

Presse, radios, télévisions ont réalisé dans le monde entier des reportages sur La Cabane Perchée et sur ce travail de haute précision. Cabanes au confort raffiné, cabanes rustiques construites pour les adultes ou pour les enfants, cabanes en bambou, et même un lit dans les arbres...

Les aquarelles de Daniel Dufour et les photographies de Vincent Thfoin constituent les 300 documents inédits de cet ouvrage. Ils vous invitent à la découverte de la vraie vie dans la nature : la vie perchée.

Vivons perchés, Alain Laurens, Daniel Dufour, Ghislain Andre, Vincent Thfoin, Editions de la Martinière, 2006, 215 pages

A propos des auteurs

La Cabane Perchée a été créée en octobre 2000 par Alain Laurens, entouré de Daniel Dufour, aquarelliste qui conçoit et dessine les cabanes, et Ghislain André, compagnon charpentier, qui les construit avec son équipe de charpentiers et de menuisiers. Alain Laurens était président d'une grande agence de publicité avant de fonder cette petite entreprise. Son enfance et la lecture du Baron perché d'Italo Calvino sont à l'origine de cette idée. Aujourd'hui, La Cabane Perchée construit en France, Suisse, Belgique, Italie, Espagne et Portugal. Vincent Thfoin est photographe professionnel depuis plus de 20 ans et travaille notamment pour des magazines de décoration, d'architecture ou de nature. Vivons perchés est son premier ouvrage.

Voir aussi : Cabanes perchées


Cabanes perchées - Collectif

Cabanes perchées
de Peter Nelson, Judy Nelson,
et David Larkin

préface de Jean-Louis Etienne

La cabane dans les arbres est le lieu de l'imaginaire profond et aussi le rêve retrouvé de l'enfance. Perdue au fond des bois ou lovée dans un coin de jardin, elle répond au besoin impérieux de se mettre un temps en marge de l'agitation du monde. Tel le Baron perché, grimpé dans son chêne pour n'en plus jamais redescendre, de plus en plus d'amateurs se laissent aujourd'hui tenter par les charmes d'un exil dans les feuillages, et choisissent de bâtir leur nid sur la fourche d'un bel arbre.

Passés maîtres dans l'art de la construction arboricole, Peter et Judy Nelson ont déniché d'étonnantes cabanes haut perchées, et nous invitent dans cet univers insolite. Simple abri de planches et de branchages ouvert aux quatre vents, improbable ermitage suspendu entre ciel et terre, cocon douillet blotti dans la ramure ou fol étagement de pièces, balcons et passerelles courant le long des branches, chaque cabane est une oeuvre unique, née de l'audace et de l'imagination de son créateur.

Cabanes perchées, Peter Nelson, Judy Nelson, David Larkin, Editions Hoëbeke, 2002, 223 pages

Voir aussi : Vivons perchés


04 août 2009

Spectacles de la nature, de Georges Feterman

Spectacles de la nature
de Georges Feterman


Languedoc
Alpes du Sud

Provence Côte d'Azur

Corse


Le Colorado provençal, la dalle aux ammonites, la source pétrifiante de Réotier, l’olivier millénaire de Roquebrune-Cap-Martin, le chaos dolomitique de Montpellier-le-Vieux… les rencontres insolites se succèdent dans cet ouvrage comme autant de surprises, de prodiges de la nature à découvrir et à admirer en Provence et plus largement dans tout le Midi méditerranéen, y compris la Corse. Georges Feterman a réuni ici, au gré de ses inspirations et de ses promenades, un surprenant « carnet d’adresses » destiné aux curieux de nature : rochers fabuleux inspirant les légendes, arbres extraordinaires, flore et faune d’exception, paysages si insolites qu’on les imagine à peine dans notre pays. Un ouvrage de belle qualité, riche en images réalisées par l’auteur, qui vous donnera l’envie irrépressible d’aller voir sur place…

Spectacles de la nature, Georges Feterman, Editions Edisud, 2008, 173 pages

A propos de l'auteur

Agrégé de sciences naturelles, Georges Feterman enseigne les sciences de la vie et de la terre au collège. Créateur et président de l'association A.R.B.R.E.S. (Arbres Remarquables : Bilan, Recherches, Etudes et Sauvegarde), il anime des sorties de découvertes à Paris et en pleine nature. Il a notamment publié Balades nature à Paris (Dakota, 1998) et Les arbres remarquables d'Ile-de-France (AMC, 2000).

A voir également

- Prodiges de la nature en France, de Georges Feterman
- La nature au fil des couleurs, de Muriel Hazan et Georges Feterman
- Nature insolite, de Snezana Gerbault
- La rubrique Nature

Nature insolite, de Snezana Gerbault

Nature insolite
Arbres et plantes de l'extrême
de Snezana Gerbault

Aussi incroyable que cela paraisse, le désert peut se couvrir de fleurs, le cratère d'un volcan d'Hawaii se peupler d'une étonnante plante aux feuilles argentées, des baobabs millénaires surplomber une piste sur l'île de Madagascar, les descendants d'une plante apparue 350 millions d'années avant notre ère se développer dans une forêt de Champagne, des fleurs d'orchidées sauvages ressembler à s'y méprendre à des abeilles...

Cet ouvrage, illustré de superbes photographies réalisées dans le monde entier, présente les plantes les plus extraordinaires pour leur âge, leur résistance à l'eau ou à la sécheresse, leur intelligence, leurs capacités de mimétisme, leur mode de reproduction... Autant de témoins de l'incroyable "imagination" des végétaux, capables de performances aussi extrêmes que celles de l'homme.

Nature insolite, Snezana Gerbault, Editions Flammarion, 2003, 151 pages

A propos de l'auteur

Snezana Gerbault est ingénieur agronome, journaliste et photographe. Passionnée de botanique, elle collabore à de nombreuses revues spécialisées dans le domaine végétal.

Voir également

- Ecorces : Voyage dans l'intimité des arbres du monde, de Cédric Pollet
- Ecorces : Galerie d'art à ciel ouvert, de Cédric Pollet
- Gueules de bois, de Klaod Roparz
- Curiosités végétales, de Muriel Hazan
- Spectacles de la nature, de Georges Feterman
- Prodiges de la nature en France, de Georges Feterman
- Stratégies végétales, de Benoît Garrone, Philippe Martin et Bertrand Schatz
- Les langages secrets de la nature, de Jean-Marie Pelt
- Ingénieuse nature, d'Emmanuelle Grundmann et Marie-Odile Monchicourt
- Pouvoirs cachés et langages secrets des fleurs, de Martin Monestier
- Sachez parler à vos plantes, de Martin Monestier
- Le génie végétal, de Marcel Bournérias et Christian Bock
- Curiosités végétales, de Muriel Hazan
- Le sexe des arbres, Collectif
- Des vidéos à propos de L'intelligence des plantes

02 août 2009

L'extrait de pépin de pamplemousse, d'Allan Sachs

L'extrait de pépin de pamplemousse
d'Allan Sachs


On ne vantera jamais assez les innombrables bienfaits de l'Extrait de Pépin de Pamplemousse (EPP). Ce puissant antimicrobien, antibactérien et fongicide est utilisé pour le traitement et la prévention de nombreuses maladies : grippe, infections parasitaires, mycoses, herpès... L'objectif de ce livre est d'apprendre à utiliser l'EPP pour traiter les principales affections courantes, apporter des soins aux animaux et purifier sa maison. De plus, vous connaîtrez ses nombreuses applications dans les secteurs de l'agriculture et de l'industrie, pour le respect de la société et de l'environnement. Un livre à la fois théorique et pratique sur les bienfaits du pamplemousse, destiné autant aux médecins et thérapeutes qu'à toute personne soucieuse de sa santé.

L'extrait de pépin de pamplemousse, Allan Sachs, Editions Trédaniel, 2010, 184 pages

A propos de l'auteur

Le Dr Allan Sachs est chiropracteur et nutritionniste. Il est aujourd'hui le spécialiste de l'Extrait de Pépin de Pamplemousse.

Pour en savoir plus

- Le site de Editions Trédaniel
- Sur le même thème : Le pépin de pamplemousse, de Christopher Thompson

Le pépin de pamplemousse, de Christopher Thompson

Le pépin de pamplemousse
Un antibiotique naturel superpuissant

160 applications pratiques

de Christopher Thompson


Découverts juste après la seconde guerre mondiale, les extraordinaires bienfaits des pépins de pamplemousse ne cessent de nous étonner. Des études scientifiques ont montré qu'il était plus efficace que l'eau de javel ou l'alcool ! C'est un antibiotique naturel hyperpuissant mais sans effets secondaires, non toxique, et sans danger.

Ce livre très pratique a été conçu pour vous apprendre à utiliser toutes les possibilités de l'extrait de pépins de pamplemousse au quotidien. Vous y trouverez : un aperçu des propriétés du pépin de pamplemousse, la liste des problèmes de santé qui peuvent être traités, pour les enfants comme pour les adultes, de nombreuses utilisations non-médicales, désinfection du linge, du sol, jardinage bio, comment soigner vos animaux de compagnie, les dosages à suivre pour chaque usage, des témoignages stupéfiants. Le guide indispensable sur l'extrait de pépins de pamplemousse !

Le pépin de pamplemousse, Christopher Thompson, Editions Equilibre, 2006, 136 pages

A propos de l'auteur

Christopher Thompson est naturopathe depuis plus de trente ans. Formé notamment en médecine chinoise et anthroposophique, il pratique l'art de la guérison naturelle avec passion. Il a voyagé de par le monde, à la recherche d'un savoir global. Ce livre est le résultat de toutes ces années de pratique et d'apprentissage : " Un jour, raconte-t-il, j'ai eu envie de partager tout ce que je savais ". Il vit et travaille en Californie, où il habite une propriété dédiée à la culture biologique et au développement durable.

A voir également, sur le même thème : L'extrait de pépin de pamplemousse, d'Allan Sachs

Le guide de dégustation de l'amateur de thé, de François-Xavier Delmas et Mathias Minet

Le guide de dégustation de l'amateur de thé
de François-Xavier Delmas et Mathias Minet

Voici l'ouvrage de référence indispensable à toutes celles et ceux qui s'intéressent au thé. Parcourant depuis 20 ans les plantations pour sélectionner les thés les plus rares, les créateurs du "Palais des Thés" nous dévoilent dans ces pages les mille et un secrets qui leur ont été confiés au gré de leurs périples. Impressionnante somme d'informations, toujours délivrées avec clarté et pédagogie, ce guide nous entraîne dans les jardins de thé, à la rencontre de ceux qui, avec passion et patience, dédient quotidiennement leur savoir-faire au plaisir d'amateurs du monde entier.


Le guide de dégustation de l'amateur de thé, François-Xavier Delmas et Mathias Minet, Editions du Chêne, 2007, 239 pages

A propos des auteurs

François-Xavier Delmas et Mathias Minet passent chaque année des milliers de crus au crible de leur expertise. Ils nous livrent ici les clés de l'art de la dégustation, les indispensables conseils pour préparer l'infusion et la sélection des 50 thés, qu'ils estiment être les meilleurs au monde. Bonne dégustation !