Qu'adviendrait-il de la Terre si l'Homme disparaissait ? Cet époustouflant documentaire nous donne un aperçu de ce que serait la vie sur notre planète… sans nous !
Bienvenue sur Terre. L'espèce humaine vient de s'éteindre, laissant derrière elle des millénaires d'histoire et de création. Le documentaire de David De Vries nous plonge dans ce scénario apocalyptique et s'interroge sur l'avenir de notre planète. Que deviendra t-elle si nous disparaissons ? Que restera t-il de notre civilisation ? La vie continuera t-elle d'exister ?
Le compte à rebours commence quelques heures après la disparition des hommes. Les lumières s'éteignent déjà : il n'y a plus personne pour faire fonctionner les centrales électriques. La planète est plongée dans l'obscurité. En à peine six mois, la faune prend possession des zones urbaines. Les animaux domestiques retournent à l'état sauvage et des hordes de bêtes féroces envahissent les villes ravagées, à la recherche de nourriture. Peu à peu, la nature reprend ses droits : la végétation s'installe; les mauvaises herbes s'infiltrent dans les fissures de la chaussée; les racines attaquent les fondations des bâtiments. Ce tapis de verdure grignote chaque jour un peu plus le terrain. A New York, Central Park est devenu une forêt. La place Rouge de Moscou a viré au vert. Amsterdam, jusqu'alors protégée par des digues, est envahie par la mer. A la place des villes règnent désormais de véritables jungles et des oasis de silence. Parmi les constructions humaines, les habitations s'affaisseront les premières, ravagées par des incendies ou minutieusement rongées par les termites. Puis ce sera au tour des gratte-ciel de céder. Entre cent et trois cents ans après l'extinction de l'homme, la plupart des monuments se seront écroulés. La tour Eiffel, le pont de Brooklyn ou encore l'Empire State Building auront disparu, faute d'entretien. Progressivement, la corrosion des métaux, l'effritement des blocs de béton, la décomposition du bois et du papier conduiront à ce résultat : tout redeviendra poussière. Même les documents digitaux seront endommagés. Notre civilisation ne laissera aucune empreinte durable. Environ 10 000 ans après notre ère, seuls quelques vestiges en pierre, comme la Grande Muraille de Chine, les pyramides de Gizeh ou le mont Rushmore, témoigneront encore d'un illustre passé. Tel est l'avenir effrayant annoncé par le film. A l'aide d'images de synthèse et de témoignages d'ingénieurs, biologistes, géologues et autres spécialistes, "Une vie après l'homme" nous donne une image saisissante de l'avenir de la planète si l'Homme venait à disparaître.
Bienvenue sur Terre. L'espèce humaine vient de s'éteindre, laissant derrière elle des millénaires d'histoire et de création. Le documentaire de David De Vries nous plonge dans ce scénario apocalyptique et s'interroge sur l'avenir de notre planète. Que deviendra t-elle si nous disparaissons ? Que restera t-il de notre civilisation ? La vie continuera t-elle d'exister ?
Le compte à rebours commence quelques heures après la disparition des hommes. Les lumières s'éteignent déjà : il n'y a plus personne pour faire fonctionner les centrales électriques. La planète est plongée dans l'obscurité. En à peine six mois, la faune prend possession des zones urbaines. Les animaux domestiques retournent à l'état sauvage et des hordes de bêtes féroces envahissent les villes ravagées, à la recherche de nourriture. Peu à peu, la nature reprend ses droits : la végétation s'installe; les mauvaises herbes s'infiltrent dans les fissures de la chaussée; les racines attaquent les fondations des bâtiments. Ce tapis de verdure grignote chaque jour un peu plus le terrain. A New York, Central Park est devenu une forêt. La place Rouge de Moscou a viré au vert. Amsterdam, jusqu'alors protégée par des digues, est envahie par la mer. A la place des villes règnent désormais de véritables jungles et des oasis de silence. Parmi les constructions humaines, les habitations s'affaisseront les premières, ravagées par des incendies ou minutieusement rongées par les termites. Puis ce sera au tour des gratte-ciel de céder. Entre cent et trois cents ans après l'extinction de l'homme, la plupart des monuments se seront écroulés. La tour Eiffel, le pont de Brooklyn ou encore l'Empire State Building auront disparu, faute d'entretien. Progressivement, la corrosion des métaux, l'effritement des blocs de béton, la décomposition du bois et du papier conduiront à ce résultat : tout redeviendra poussière. Même les documents digitaux seront endommagés. Notre civilisation ne laissera aucune empreinte durable. Environ 10 000 ans après notre ère, seuls quelques vestiges en pierre, comme la Grande Muraille de Chine, les pyramides de Gizeh ou le mont Rushmore, témoigneront encore d'un illustre passé. Tel est l'avenir effrayant annoncé par le film. A l'aide d'images de synthèse et de témoignages d'ingénieurs, biologistes, géologues et autres spécialistes, "Une vie après l'homme" nous donne une image saisissante de l'avenir de la planète si l'Homme venait à disparaître.
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