
A l'écoute du monde animal
de Jean Martin
et Carol Bouteraon
préface de Didier van Cauwelaert
de Jean Martin
et Carol Bouteraon
préface de Didier van Cauwelaert
Un lien subtil et universel relie les espèces. Tel est le message de ce livre écrit par le père Jean Martin et Carol Bouteraon.
Jean Martin puise dans les rites et les cultures du monde entier pour apporter un éclairage sur ce lien qu’il définit comme "la toile de la vie". Sa démarche suscite une réflexion sur la place des animaux dans nos sociétés. Il associe à son message d’amour pour tout ce qui vit un optimisme lucide. Son enseignement, basé sur le respect et la confiance, met en perspective le triomphe de l’amour universel.
Carol Bouteraon communique pour sa part avec les règnes non humains : animaux, végétaux et minéraux. Elle présente ici une sélection de leurs messages dont la teneur confirme l’enseignement spirituel de Jean Martin.
A l'écoute du monde animal, Jean Martin et Carol Bouteraon, Préface : Didier Van Cauwelaert, Editions JMG, 2008, 200 pages
A propos de l'auteur
L'abbé Jean Martin est belge. Né en 1936, il est ordonné prêtre en 1961. Docteur en philosophie de l'université de Louvain, prêtre de paroisse puis professeur de séminaire, il est l'auteur de plusieurs livres sur l'Au-delà et il s'occupe aussi d'accompagnement auprès des personnes dans le deuil.
Pour en savoir plus
- Le site de Carol Bouteraon
- Le site des Editions JMG
- Karine après la vie, de Didier Van Cauwelaert
Des livres du même auteur
- Le prêtre, la médium et le chien (avec un entretien vidéo)
- Nul n'est une île
- Horizon de lumière
- Des signes par milliers
Des articles
- Les animaux et l'au-delà (1)
- Les animaux et l'au-delà (2)
- Les animaux et l'au-delà (3)
Le sommaire
I - La toile de la vie, par Jean Martin
Introduction
1. L'âme des animaux
2. Pourquoi tant de souffrances ?
3. Guérir du mal
4. Le destin des animaux
Définition de la TCI
II - Ce qu'ils m'ont dit : Conversations avec les règnes non humains, par Carol Bouteraon
Remerciements
Avertissement
La communication intuitive, qu'est-ce que c'est ?
Introduction
Sur la voie du destin des animaux avec Puce
1. Une notion erronée : la mort
2. Missions
3. Les animaux soignent
Les filtres
Les remèdes
4. Cadeaux
5. Rires et sourires
6. Règne végétal - règne minéral
Jean Martin : Points de vue
Le "karma" des animaux
Invraisemblable ?
Faire la vérité
« À celui qui croit, disait Bernadette Soubirous, aucune preuve n’est nécessaire ; à celui qui ne croit pas, aucun miracle n’est suffisant. » Les témoignages qu’on va découvrir dans cet ouvrage sont souvent hallucinants, mais leur authenticité ne heurtera que ceux pour qui la mort est un point final, la vie une absurdité, l’animal une bête sans âme et la nature un simple décor. Tant pis pour eux. Les autres, ceux qui pensent comme moi que ce qui nous dépasse nous aide à grandir, liront ce livre à deux voix avec la curiosité ardente qu’inspirent les mystères issus du quotidien.
Si la sincérité et la compétence des auteurs ne peuvent être mises en cause, la lucidité qui gouverne toujours leur démarche les conduit parfois à douter de ce qu’ils constatent. À douter non pas sur les faits, mais sur leur interprétation. Après avoir ressenti une communication avec l’esprit d’une chatte désincarnée, Carol Bouteraon écrit par exemple : « J’ignore si je capte son émotion, juste la mienne, ou un subtil mélange des deux ». Malgré leur intime conviction et tous les indices recueillis à travers leur expérience, les auteurs restent prudents. Prudents, car respectueux du Libre arbitre. Plutôt que de nous imposer des réponses, ils préfèrent nous suggérer des questions auxquelles nous ne songions pas.
Un Au-delà pour tous !
Si l’on croit en la survie de l’esprit, pourquoi les animaux et les plantes qui décèdent n’auraient-ils pas droit eux aussi à un Au-delà, n’auraient-ils pas la faculté de continuer à alimenter la Vie par leur mémoire, leur énergie et leur envie de communiquer ? En nous ramenant aux textes sacrés, le Père Jean Martin nous rappelle à bon escient que l’exclusion des animaux est une invention des hommes, pas une décision de Dieu. De même qu’il fut un temps où, au regard de l’Église, les Indiens n’avaient pas d’âme… et celle des femmes était sujette à caution.
Croyant ou non, qui n’a jamais ressenti une communion spirituelle en vivant avec un animal domestique ? Qui n’a jamais éprouvé, en enlaçant un arbre, cette vibrante fraternité qui unit l’être de sève et l’être de sang ? Toute forme de vie est issue des bactéries originelles, de la division des cellules qui accroît la biodiversité, de la multiplication des espèces qui alimente ce gigantesque projet de l’Évolution, que les croyants sont en droit de nommer la « Volonté divine ». Alors, si nous sommes tous nés de ce même projet, pourquoi l’être humain serait-il au centre d’un univers sans pensée ni mémoire ni dialogue ?
Un jour, dans un Salon du livre, un monsieur d’une soixantaine d’années vint à moi avec une épaisse chemise cartonnée. Résigné, je me dis qu’il s’agissait encore une fois d’un de ces manuscrits sur lesquels on sollicite mon avis, mais non : c’était un dossier médical. Et ce que cet homme me confia, au beau milieu de la foule, en me disant que mes romans lui avaient donné le courage de me raconter son histoire, explique pourquoi j’ai souhaité préfacer le présent ouvrage.
Étant tombé d’un arbre quelques mois plus tôt, mon lecteur avait eu la jambe transpercée par une branche brisée, et la gangrène s’était mise dans la plaie ouverte. Les médecins n’avaient d’autre recours que l’amputation. Il s’y était résolu. La veille du jour prévu pour l’opération, le cœur serré entre ses béquilles, il avait offert une dernière promenade à sa jambe condamnée. Et voilà qu’au détour d’une rue, il croise une dame qui se retourne sur lui, revient soudain sur ses pas et l’aborde en surmontant sa gêne :
« Pardon, Monsieur, mais vous avez un chat ? Demandez-lui de vous guérir : il peut vous éviter l’opération, avec sa fourrure. Excusez-moi. »
Et elle tourne les talons, s’éloigne en hâte. Comme si, poussée par la force incoercible d’un message à délivrer, elle a pris ensuite conscience de ce qu’elle vient de faire, et battait en retraite, se sentant confuse, ridicule, indiscrète. L’homme reste abasourdi sur le trottoir, suivant des yeux la silhouette qui disparaît dans la foule. Comment cette inconnue a-t-elle capté ces informations ? Peu à peu, il se raisonne. Il suffit de le voir entre ses béquilles, le pansement autour de sa jambe gonflant son pantalon, pour deviner sans trop de mérite la probabilité d’une opération. Quant au chat, elle est aussi tombée juste, mais ça n’a rien d’extraordinaire : beaucoup de gens ont des chats. De toute façon, le sien est mort depuis trois mois.
Il rentre chez lui, quand même troublé. Il essaie de dormir. Mais les paroles de la dame le poursuivent dans ses rêves. Il revoit son chat, qui le fixe d’un regard insistant. Il murmure, dans un demi-sommeil : « Mais tu es mort. » Et il entend : « Et alors ? » Alors il se relève, en pleine nuit. Il se dit qu’il n’a rien à perdre et, saisi par l’énergie d’un dernier espoir, il sort son aspirateur, le passe sur les coussins du canapé où le chat avait ses habitudes. Après avoir récupéré dans le sac une poignée de poils, il les glisse à l’intérieur de son pansement, et se recouche.
Et alors…
Le lendemain matin, une odeur épouvantable le réveille. Bien pire encore que celle de la gangrène à laquelle il s’est habitué. Il retire le cataplasme de poils, qui semble avoir absorbé et décuplé la puanteur, il le jette, et alors…
Mon lecteur se tait. L’émotion est suspendue autour de lui ; il découvre qu’il est au centre des regards. Rougissant, incapable de continuer le fil de son histoire, il ouvre la chemise cartonnée, et me laisse découvrir les rapports médicaux. La gangrène a disparu ; l’amputation n’a plus lieu d’être. En quelques jours, la plaie se referme et cicatrise. Les médecins ne comprennent pas, mais ils constatent et ils confirment. J’ai sous les yeux le compte rendu officiel d’un miracle – en tout cas de la guérison spontanée d’une pathologie irréversible.
L’explication, du moins la conscience d’un éclairage, je l’ai trouvée dans les pages qui suivent. Encore une fois, tout cela peut sembler aberrant à ceux qui ne croient que ce qu’ils voient, et qui refusent de voir lorsque leurs yeux démentent ce que leur esprit rejette. Mais ce n’est pas en niant ce qui le dépasse que l’être humain progresse dans sa compréhension du monde. La grande question est de savoir ce qui provoque les phénomènes constatés. Les animaux défunts ont-ils le pouvoir d’agir sur nos pensées, notre organisme et notre destin ? Ou est-ce notre amour pour eux, le fruit de nos liens qui transcende les forces de notre esprit, et nous donne le pouvoir de communiquer, par ce biais, avec les cellules qui gouvernent la structure du vivant ? Comme se le demandait le biologiste Louis-Marie Vincent : « Et si l’être humain était une machine à transformer l’amour en une autre forme d’énergie ? »
Nous avons le droit de douter de nos pouvoirs psychiques. Mais, dans le doute, pourquoi ne pas cultiver et diffuser l’amour en direction de notre entourage humain, animal, végétal, minéral ? L’amour, l’attention et la confiance. Ça ne peut pas faire de mal et, à la lecture de ce qui suit, on mesure combien les espèces que nous privions d’âme nous veulent du bien.
Jean Martin puise dans les rites et les cultures du monde entier pour apporter un éclairage sur ce lien qu’il définit comme "la toile de la vie". Sa démarche suscite une réflexion sur la place des animaux dans nos sociétés. Il associe à son message d’amour pour tout ce qui vit un optimisme lucide. Son enseignement, basé sur le respect et la confiance, met en perspective le triomphe de l’amour universel.
Carol Bouteraon communique pour sa part avec les règnes non humains : animaux, végétaux et minéraux. Elle présente ici une sélection de leurs messages dont la teneur confirme l’enseignement spirituel de Jean Martin.
A l'écoute du monde animal, Jean Martin et Carol Bouteraon, Préface : Didier Van Cauwelaert, Editions JMG, 2008, 200 pages
A propos de l'auteur
L'abbé Jean Martin est belge. Né en 1936, il est ordonné prêtre en 1961. Docteur en philosophie de l'université de Louvain, prêtre de paroisse puis professeur de séminaire, il est l'auteur de plusieurs livres sur l'Au-delà et il s'occupe aussi d'accompagnement auprès des personnes dans le deuil.
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I - La toile de la vie, par Jean Martin
Introduction
1. L'âme des animaux
2. Pourquoi tant de souffrances ?
3. Guérir du mal
4. Le destin des animaux
Définition de la TCI
II - Ce qu'ils m'ont dit : Conversations avec les règnes non humains, par Carol Bouteraon
Remerciements
Avertissement
La communication intuitive, qu'est-ce que c'est ?
Introduction
Sur la voie du destin des animaux avec Puce
1. Une notion erronée : la mort
2. Missions
3. Les animaux soignent
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4. Cadeaux
5. Rires et sourires
6. Règne végétal - règne minéral
Jean Martin : Points de vue
Le "karma" des animaux
Invraisemblable ?
Faire la vérité
La préface de Dider Van Cauwelaert
« À celui qui croit, disait Bernadette Soubirous, aucune preuve n’est nécessaire ; à celui qui ne croit pas, aucun miracle n’est suffisant. » Les témoignages qu’on va découvrir dans cet ouvrage sont souvent hallucinants, mais leur authenticité ne heurtera que ceux pour qui la mort est un point final, la vie une absurdité, l’animal une bête sans âme et la nature un simple décor. Tant pis pour eux. Les autres, ceux qui pensent comme moi que ce qui nous dépasse nous aide à grandir, liront ce livre à deux voix avec la curiosité ardente qu’inspirent les mystères issus du quotidien.
Si la sincérité et la compétence des auteurs ne peuvent être mises en cause, la lucidité qui gouverne toujours leur démarche les conduit parfois à douter de ce qu’ils constatent. À douter non pas sur les faits, mais sur leur interprétation. Après avoir ressenti une communication avec l’esprit d’une chatte désincarnée, Carol Bouteraon écrit par exemple : « J’ignore si je capte son émotion, juste la mienne, ou un subtil mélange des deux ». Malgré leur intime conviction et tous les indices recueillis à travers leur expérience, les auteurs restent prudents. Prudents, car respectueux du Libre arbitre. Plutôt que de nous imposer des réponses, ils préfèrent nous suggérer des questions auxquelles nous ne songions pas.
Un Au-delà pour tous !
Si l’on croit en la survie de l’esprit, pourquoi les animaux et les plantes qui décèdent n’auraient-ils pas droit eux aussi à un Au-delà, n’auraient-ils pas la faculté de continuer à alimenter la Vie par leur mémoire, leur énergie et leur envie de communiquer ? En nous ramenant aux textes sacrés, le Père Jean Martin nous rappelle à bon escient que l’exclusion des animaux est une invention des hommes, pas une décision de Dieu. De même qu’il fut un temps où, au regard de l’Église, les Indiens n’avaient pas d’âme… et celle des femmes était sujette à caution.
Croyant ou non, qui n’a jamais ressenti une communion spirituelle en vivant avec un animal domestique ? Qui n’a jamais éprouvé, en enlaçant un arbre, cette vibrante fraternité qui unit l’être de sève et l’être de sang ? Toute forme de vie est issue des bactéries originelles, de la division des cellules qui accroît la biodiversité, de la multiplication des espèces qui alimente ce gigantesque projet de l’Évolution, que les croyants sont en droit de nommer la « Volonté divine ». Alors, si nous sommes tous nés de ce même projet, pourquoi l’être humain serait-il au centre d’un univers sans pensée ni mémoire ni dialogue ?
Un jour, dans un Salon du livre, un monsieur d’une soixantaine d’années vint à moi avec une épaisse chemise cartonnée. Résigné, je me dis qu’il s’agissait encore une fois d’un de ces manuscrits sur lesquels on sollicite mon avis, mais non : c’était un dossier médical. Et ce que cet homme me confia, au beau milieu de la foule, en me disant que mes romans lui avaient donné le courage de me raconter son histoire, explique pourquoi j’ai souhaité préfacer le présent ouvrage.
Étant tombé d’un arbre quelques mois plus tôt, mon lecteur avait eu la jambe transpercée par une branche brisée, et la gangrène s’était mise dans la plaie ouverte. Les médecins n’avaient d’autre recours que l’amputation. Il s’y était résolu. La veille du jour prévu pour l’opération, le cœur serré entre ses béquilles, il avait offert une dernière promenade à sa jambe condamnée. Et voilà qu’au détour d’une rue, il croise une dame qui se retourne sur lui, revient soudain sur ses pas et l’aborde en surmontant sa gêne :
« Pardon, Monsieur, mais vous avez un chat ? Demandez-lui de vous guérir : il peut vous éviter l’opération, avec sa fourrure. Excusez-moi. »
Et elle tourne les talons, s’éloigne en hâte. Comme si, poussée par la force incoercible d’un message à délivrer, elle a pris ensuite conscience de ce qu’elle vient de faire, et battait en retraite, se sentant confuse, ridicule, indiscrète. L’homme reste abasourdi sur le trottoir, suivant des yeux la silhouette qui disparaît dans la foule. Comment cette inconnue a-t-elle capté ces informations ? Peu à peu, il se raisonne. Il suffit de le voir entre ses béquilles, le pansement autour de sa jambe gonflant son pantalon, pour deviner sans trop de mérite la probabilité d’une opération. Quant au chat, elle est aussi tombée juste, mais ça n’a rien d’extraordinaire : beaucoup de gens ont des chats. De toute façon, le sien est mort depuis trois mois.
Il rentre chez lui, quand même troublé. Il essaie de dormir. Mais les paroles de la dame le poursuivent dans ses rêves. Il revoit son chat, qui le fixe d’un regard insistant. Il murmure, dans un demi-sommeil : « Mais tu es mort. » Et il entend : « Et alors ? » Alors il se relève, en pleine nuit. Il se dit qu’il n’a rien à perdre et, saisi par l’énergie d’un dernier espoir, il sort son aspirateur, le passe sur les coussins du canapé où le chat avait ses habitudes. Après avoir récupéré dans le sac une poignée de poils, il les glisse à l’intérieur de son pansement, et se recouche.
Et alors…
Le lendemain matin, une odeur épouvantable le réveille. Bien pire encore que celle de la gangrène à laquelle il s’est habitué. Il retire le cataplasme de poils, qui semble avoir absorbé et décuplé la puanteur, il le jette, et alors…
Mon lecteur se tait. L’émotion est suspendue autour de lui ; il découvre qu’il est au centre des regards. Rougissant, incapable de continuer le fil de son histoire, il ouvre la chemise cartonnée, et me laisse découvrir les rapports médicaux. La gangrène a disparu ; l’amputation n’a plus lieu d’être. En quelques jours, la plaie se referme et cicatrise. Les médecins ne comprennent pas, mais ils constatent et ils confirment. J’ai sous les yeux le compte rendu officiel d’un miracle – en tout cas de la guérison spontanée d’une pathologie irréversible.
L’explication, du moins la conscience d’un éclairage, je l’ai trouvée dans les pages qui suivent. Encore une fois, tout cela peut sembler aberrant à ceux qui ne croient que ce qu’ils voient, et qui refusent de voir lorsque leurs yeux démentent ce que leur esprit rejette. Mais ce n’est pas en niant ce qui le dépasse que l’être humain progresse dans sa compréhension du monde. La grande question est de savoir ce qui provoque les phénomènes constatés. Les animaux défunts ont-ils le pouvoir d’agir sur nos pensées, notre organisme et notre destin ? Ou est-ce notre amour pour eux, le fruit de nos liens qui transcende les forces de notre esprit, et nous donne le pouvoir de communiquer, par ce biais, avec les cellules qui gouvernent la structure du vivant ? Comme se le demandait le biologiste Louis-Marie Vincent : « Et si l’être humain était une machine à transformer l’amour en une autre forme d’énergie ? »
Nous avons le droit de douter de nos pouvoirs psychiques. Mais, dans le doute, pourquoi ne pas cultiver et diffuser l’amour en direction de notre entourage humain, animal, végétal, minéral ? L’amour, l’attention et la confiance. Ça ne peut pas faire de mal et, à la lecture de ce qui suit, on mesure combien les espèces que nous privions d’âme nous veulent du bien.
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